Née à Castelnaudary, Marie-Thérèse de Soubiran désirait se faire carmélite. A vingt ans, obéissante envers son père spirituel, qui avait en tête de fonder un béguinage à Castelnaudary, elle va s’initier à ce genre de vie en Belgique. A son retour, elle fonde la congrégation de Sainte Marie du Béguinage qui, en 1863, deviendra celle de Marie-Auxiliatrice, vouée à l’éducation des enfants pauvres et au soin des malades.
En 1869, entre dans la congrégation une prétendue veuve, madame Riché, qui fait profession sous le nom de soeur Marie-François de Borgia. Intrigante, elle devient assistante générale, fait déconsidérer l’humble Marie-Thérèse, prend sa place et la chasse de la congrégation.
Après quelque temps de désarroi, sainte Marie-Thérèse entre dans la maison parisienne de Notre-Dame de la Charité (1874), y fait profession religieuse et y vit quinze ans, très effacée, même méprisée. Elle meurt de phtisie, ne laissant apparemment personne inconsolable. Quant à la soi-disant veuve Riché, elle gouverne la congrégation pendant quinze années alors que son mari, toujours en vie, courait partout pour la retrouver. L’imposture ne prit fin qu’en 1890. La mère Marie-Françoise disparut sans laisser de trace et l’on commença à vénérer soeur Marie-Thérèse.
« Chanter c’est prier 2 fois »
disait St-Augustin !
Alors afin de rendre encore plus priantes et festives nos célébrations, merci d’arriver 10
mn avant l’heure de la messe
et nous pourrons apprendre de nouveaux chants, ou mieux prier ceux que nous connaissons déjà
!
Voici la « Prière pour l’Unité des Chrétiens » de l’Abbé Paul COUTURIER (1881-1953), prêtre du diocèse de Lyon et promoteur de la semaine de prière pour l’unité des Chrétiens qui recommandait : « Prier pour l'Unité des Chrétiens, afin de demander à Dieu qu'elle se passe quand Il le voudra et comme Il le voudra ».
Il est un des pionniers de l’œcuménisme et contribue dès 1935 à poser les bases de l’œcuménisme d’aujourd’hui.
Le Concile Vatican II reprendra son intuition en soulignant que « la prière est l’âme du mouvement œcuménique ».
À quelles réduction d'impôts suis-je éligible après avoir donné à l'Église ?
Les dons des fidèles aux associations cultuelles bénéficient désormais d'un taux de réduction d'impôt de 75%, contre 66% jusqu'à présent.
Ce coup de pouce s'explique par les conséquences financières des restrictions sanitaires que nous subissons depuis mars 2020. Le nouveau taux de l'avantage fiscal est en vigueur depuis le 2 juin 2021. Cet avantage s'applique à un maximum de 554 euros de dépenses, le taux de 66% prenant le relais au-delà de ce montant. La limite des dons déductibles d'impôts reste plafonnée à 20% de vos revenus L'excédent éventuel est reportable sur les cinq années suivantes.
Démarche synodale dans notre paroisse
Lors de nos différentes rencontres de réflexions sur le synode proposé par l'Église catholique,
nous avons choisi 6 questions dans le catalogue des propositions qui nous semblaient "abordables" et auxquelles les diférents groupes ont apporté les réponses dont vous truverez le lien ci-dessous :