Beau temps à la Saint-Julien,
promet abondance de biens
Saint(e) fêté(e) par l'Église catholique
Sainte Angèle Mérici (+1540)
Sainte Angèle Mérici (+1540)
Née à Desenzano, sur les bords du lac de Garde, en Italie, elle fut orpheline à seize ans. C’est l’un de ses oncles qui l’élèvera, mais il aura fort à faire avec cette belle fille indépendante. Elle vivait en plein paganisme de la Renaissance. Jusqu’au jour où son caractère l’entraînera à se donner à Dieu d’une manière aussi indépendante. Elle devient tertiaire de saint François, car elle veut vivre cette consécration dans le monde et la vie quotidienne. Pour gagner de quoi vivre, elle devient demoiselle de compagnie dans des familles de la bourgeoisie de Brescia, en Lombardie. Ce qui lui permet, simultanément, une vie de silence, d’ascèse et de prière quand elle rentre dans sa petite chambre. Elle pèlerine en Terre Sainte, à Rome et ailleurs. Elle enseignait le catéchisme aux enfants. Et cette demoiselle de compagnie entretient beaucoup de relations avec la bourgeoisie qui se rend aux réceptions de ses maîtres. Comme elle est de bon conseil, on vient la consulter et elle ramène souvent ainsi la concorde dans les familles. Le pape Clément VII, apprenant ses réussites, lui demanda de venir catéchiser les fillettes romaines. Mais elle trouva de bonnes raisons pour se dérober à cette demande. En 1535, alors qu’elle s’est retirée en ermite dans une cellule, elle a une vision qui l’incite à se consacrer à l’éducation de la jeunesse. Elle fonde la Compagnie de sainte Ursule (placée sous le patronage de cette vierge martyre), les Ursulines, destinée à des femmes qui désirent vivre en vierges consacrées tout en restant dans le monde. Quand elle meurt, elle leur laisse un admirable testament spirituel, fondé sur l’abandon à Dieu et la contemplation, au milieu du monde. Elle fonda ainsi la première congrégation religieuse enseignante en Europe.
« On n’allume pas
une lampe pour la mettre
sous le boisseau. »
Matthieu 5, 15
« Chanter c’est prier 2 fois »
disait St-Augustin !
Alors afin de rendre encore plus priantes et festives nos célébrations, merci d’arriver 10
mn avant l’heure de la messe
et nous pourrons apprendre de nouveaux chants, ou mieux prier ceux que nous connaissons déjà
!
Voici la « Prière pour l’Unité des Chrétiens » de l’Abbé Paul COUTURIER (1881-1953), prêtre du diocèse de Lyon et promoteur de la semaine de prière pour l’unité des Chrétiens qui recommandait : « Prier pour l'Unité des Chrétiens, afin de demander à Dieu qu'elle se passe quand Il le voudra et comme Il le voudra ».
Il est un des pionniers de l’œcuménisme et contribue dès 1935 à poser les bases de l’œcuménisme d’aujourd’hui.
Le Concile Vatican II reprendra son intuition en soulignant que « la prière est l’âme du mouvement œcuménique ».
À quelles réduction d'impôts suis-je éligible après avoir donné à l'Église ?
Les dons des fidèles aux associations cultuelles bénéficient désormais d'un taux de réduction d'impôt de 75%, contre 66% jusqu'à présent.
Ce coup de pouce s'explique par les conséquences financières des restrictions sanitaires que nous subissons depuis mars 2020. Le nouveau taux de l'avantage fiscal est en vigueur depuis le 2 juin 2021. Cet avantage s'applique à un maximum de 554 euros de dépenses, le taux de 66% prenant le relais au-delà de ce montant. La limite des dons déductibles d'impôts reste plafonnée à 20% de vos revenus L'excédent éventuel est reportable sur les cinq années suivantes.
Démarche synodale dans notre paroisse
Lors de nos différentes rencontres de réflexions sur le synode proposé par l'Église catholique,
nous avons choisi 6 questions dans le catalogue des propositions qui nous semblaient "abordables" et auxquelles les diférents groupes ont apporté les réponses dont vous truverez le lien ci-dessous :